« Il est facile de déterminer ce qu’est une mauvaise traduction. Celles qui sont déchiquetées n’importe comment comme si la personne qui tenait les ciseaux était ivre. Celles où l’original a été mal compris, ou bien mal interprété. Celles où toute personnalité a été lissée. Mais comment identifier une traduction réussie ? Quand avons-nous bien fait notre travail ? Quel but voulons-nous atteindre, au-delà de la simple fluidité ? »
Ces questions, c’est l’éditrice et traductrice Katy Derbyshire qui les posent. Cliquez ici et ici pour lire les réponses de dix traducteurs littéraires à travers le monde – et savoir pourquoi il faut en parler.